Devri

arc'hiñ

arc'hiñ

v. tr. d.

(1) [suivi d'un subordonnée infinitive] Demander que.

(1575) M 767-769. Neuse an re damnet, me cret hep arretaff / Disacun (lire : disaçun) á vn moez, ez archynt rez coezaff : / Oarneze nede gaou, menezyou do plomaff, tr. «Alors les damnés, je crois, sans arrêter / Horriblement, d'une voix, il demanderont nettement que tombent / Sur eux ce n'est pas un mensonge, les montagnes pour les frapper.»

(2) Arc'hiñ udb. da ub. : commander à qqn d'exécuter qqc.

(1557) B I 250. Hoz tat eu heb faut hon autrou / A archas dimp plen e guenou / Nemet dou hon oa dezrouet, tr. «C'est votre père, sans mentir, c'est notre maître qui nous a commandé de sa propre bouche de n'en faire point d'autre que les deux que nous avions commencées.» ●287. Houz merch heb faut baut (var. : Haut) Autrou, / A archas plen diff perguen e guenou / Ouz a (lire : ouzpen) an ou amoa gnou dezrouet / Ez groasenn net en effet an trede, tr. «C'est votre fille, sans mentir, entendez bien, seigneur, qui m'a commandé expressément de sa propre bouche qu'en plus de deux que j'avais déjà commencées j'en exécutasse une troisième.»

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